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2 août 2007 4 02 /08 /août /2007 17:47
ans son discours1 à l'Université de Dakar, par ailleurs écrit par Henri Guaino2, conseiller spécial de l'Elysée, Nicolas Sarkozy estime que dans l'imaginaire africain "où tout recommence toujours, il n'y a de place ni pour l'aventure humaine, ni pour l'idée de progrès". N'en déplaise à Nicolas Sarkozy, on aurait tort d'imputer à l'Afrique la carence d'une idée qui ne définit au mieux que son propre imaginaire3.

1.  Allocution de M. Nicolas Sarkozy, Président de la République, prononcée à l'Université de Dakar, Présidence de la République, 26 juillet 2007.
2. Pauvre "nègre", Le Canard Enchaîné, 1er août 2007.
3. "
Le progrès est une signification imaginaire essentiellement capitaliste, à laquelle Marx lui-même s'est laissé prendre." Cornélius Castoriadis, Un monde à venir. Entretien avec Cornélius Castoriadis, La république des Lettres, 1994.
Christopher Lasch se demande pour sa part  "comment se fait-il que des gens sérieux continuent à croire au progrès alors que les évidences les plus massives auraient dû, une fois pour toutes, les conduire à abandonner cette idée?", Christopher Lasch, Le seul et vrai paradis, Champs Flammarion, 2006, p. 15.

Illustration: Marcel Duchamp,
Etant donné le gaz d'éclairage. / Progrès (amélioration) du gaz d'éclairage jusqu'aux plans d'écoulement / Moules mâliques, Musée national d'art contemporain, Centre Georges Pompidou, Paris.
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1 août 2007 3 01 /08 /août /2007 19:13

u-vert.gifn psychiatre prescrivait récemment, dans un article du Monde1, en partant du constat de la dégradations des conditions de travail, de « s'appuyer sur la capacité des gens à reprendre la parole pour améliorer le "vivre ensemble" ». Ainsi conviendrait-il de « savoir se dire ce qui rend la vie impossible, faire remonter les suggestions, avoir la volonté de se poser pour réfléchir, dialoguer avec l'autre. » Tout un programme.

Or cette parole émancipatrice, certes encore balbutiante, semble avoir trouvé un lieu privilégié d'expression dans le monde du football professionnel, où le présage d'un type de dialogue nouveau laisse augurer de l'heureux dénouement de nombre de situations de travail conflictuelles.

Attendu depuis le 19 juilllet, date de la reprise de l'entraînement, l'attaquant de l'Olympique lyonnais Fred, recruté en 2005 contre 15 millions d'euros, n'était le 25 toujours pas présent aux scéances d'entraînement. Désinvolture ? Certainement pas! L'intéressé a certes « indiqué avoir pris ses libertés avec le planning lyonnais pour le bien-être de sa famille »2 - ne faut-il pas savoir concilier vie familiale et vie professionnelle? - mais, conscience professionnnelle oblige, assure « avoir suivi avec assiduité les résultats de l'OL sur internet ». Pour s'épargner des fâcheries aussi inutiles que contre-productives que crée parfois un simple malentendu – Alain Perrin, l'entraineur de l'OL, déplore, navré, « son manque de communication »3 -, il prit les devants le 23 juillet en appelant, pour s'excuser, le président de l'OL Jean-Michel Aulas, qui trouva cette prévenance « touchante ». Le « vivre-ensemble » passe aussi par le respect des règles de bienséance. Mais celles-ci ne suffisent pas toujours. Las de ses silences trop longs et de ses absences, le président de l'OL, qui espérait néanmoins secrètement que le mariage du joueur « allait le stabiliser » et qu'il « allait repartir du bon pied » - ne faut-il pas réconcilier vie professionnelle et vie familiale? - , estima que Fred avait « fait deux erreurs » et qu'il y en avait « une de trop ». Mais même si certainement dans l'esprit de cet honnête chef d'entreprise incombe contractuellement à son joueur des obligations autres que les seules que lui prescrivent ses sautes d'humeur, il s'agissait avant tout de régler le litige dans les termes qui trouvent grâce à ses yeux: la franchise et l'honnêteté, dont le rapport viril donne une illustration exemplaire: «On essaiera de régler ça entre hommes. » Au formalisme paperassier qu'impose tout recours juridique par avocats-grassement-payés interposés, Jean-Michel Aulas, en bon gestionnaire, avait en effet de légitimes raisons de privilégier « une discussion les yeux dans les yeux», moins coûteuse en investissement personnel, quitte à envisager, au conditionnel4 - l'avenir étant plein d'incertitudes5 – une éventuelle sanction.

En décembre 2006, une employée d'Aréna se plaignait, désabusée, peu avant son licenciement, des obligations de rendement auxquelles elle était soumise sous peine de menaces. A n'en pas douter, cette situation, symptôme d'un déficit, ne pouvait être que le fruit d'un « manque de communication ».


1. "Le suicide est l'aboutissement d'un processus de délitement du tissu social", Le Monde, 21 juillet 2007.

2. Fred est là, mais pas Wiltord, L'Equpe, 1 août 2007.

3. Aulas sur Fred: «Une erreur de trop», L'Equipe, 25 juillet 2007.

4. "Le club pourrait le sanctionner" sans que Jean-Michel Aulas précise "s'il sanctionnera son joueur ".

5. L'Olympique lyonnais tente actuellement de recruter un attaquant dans l'optique d'un possible remplacement de Fred, l'éventualité d'un échec invite sans doute ses dirigeants à ménager les susceptibilités.

PS. Il semblerait que le coéquipier de Fred, Sylvain Wiltord, après son transfert avorté à Rennes, en habitué du genre, se soit « fait porter pâle » selon une communication du club.


Illustration: Frédéric Bruly Bouabré, Les formes atomisées, 1988, Musée national d'art contemporain, Centre Georges Pompidou, Paris.

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31 juillet 2007 2 31 /07 /juillet /2007 22:58
n Allemagne, Continental a déjà réintroduit la semaine de 40 heures dans plusieurs de ses usines. "C'est un instrument pour augmenter notre rentabilité", explique-t-on au siège du groupe allemand. Entre 2004 et 2005, plus de 3 000 salariés du fabricant de pneus ont dû accepter un allongement de la durée du travail. En contrepartie, l'entreprise a augmenté ses investissements et a garanti l'emploi des salariés jusqu'en 2007..." C'est tojours ça de pris!

La durée du travail augmente partout en Allemagne
, Le Monde, 30 juillet 2007.

Illustration:
Camille Briand (1907-1977), Objet de la rue: Empreinte de pneu et ficelle, Musée national d'art contemporain, Centre Georges Pompidou, Paris.
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31 juillet 2007 2 31 /07 /juillet /2007 21:08
nterrogé1 sur les éventuelles compensations financières qu'aurait consenties le gouvernement français pour la libération des infirmières bulgares, Monsieur Kouchner, titulaire du maroquin des affaires-qui-lui-semblent-étrangères2, aurait déclaré selon François Loncle, député PS, que « le problème de l’eau était important en Libye et que, techniquement, il n’y avait aucune raison pour ne pas dessaler l’eau de mer avec des techniques nucléaires. » Mais comme « techniquement » rien n'interdisait d'envisager d'autres procédés de production d'électricité, comme une centrale photovoltaïque pour tirer profit du rayonnement solaire, on peut se demander si ce n'est pas plus des raisons politiciennes mesquines que techniques qui motivent l'alibi.

1. «Kouchner était très mal à l'aise et confus sur la libération des infirmières bulgares», Libération, 31 juillet 2007.
2. Pour Bernard Loncle, Bernard Kouchner "
aurait dû être la plaque tournante de cette affaire" mais c'est "Claude Guéant qui était dans cette affaire le seul vrai pilote." (Ibid.) D'après Bernard Kouchner lui-même, "c 'est surtout le président de la République qui a joué un rôle. Il y a des dossiers qui lui appartiennent." Le réacteur nucléaire à la Libye, "une hypothèse non avérée" pour Kouchner , Le Figaro, 31 juillet 2007.
PS: la lecture de l'article du Figaro sur le même sujet, Le réacteur nucléaire à la Libye, "une hypothèse non avérée" pour Kouchner, relate les propos du ministre de manière plus détaillée. L'ambiguïté qui entoure les "raisons" de cette opération semble affliger celles qui la justifie: Bernard Kouchner affirme qu'il "ne s’agit pas d’un « protocole » mais d’un « mémorandum d'engagement », qui pour l'instant n'est qu'une "hypothèse non avérée" et ce d'autant moins que « si cela se fait, et il n'est pas sûr que ça se fasse..."

Illustration: Carol Mondt, Mythes contemporains, famille nucleaire, Musée national d'art contemporain, Centre Georges Pompidou, Paris.
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31 juillet 2007 2 31 /07 /juillet /2007 18:24

la suite du projet de mise en place d'une « franchise des dépenses de santé » par le gouvernement1, Claude Lepen et Guy Vallancien estiment dans un article2 au Monde, outre « qu'il n'y a rien de scandaleux à laisser à la charge du malade une très petite partie des frais médicaux » - sachant que cette franchise fait suite à celle de 1 euro instaurée par la réforme Douste-Blazy de 2004 et qu'elles se cumulent au ticket modérateur - mais aussi que « ce n'est pas parce que 53 % des dépenses de santé sont concentrées sur 5 % de la population (les plus âgés notamment) qu'il ne faut pas responsabiliser les 47 autres pour cent pour les petits risques ! » Mais comme il ne sera certainement jamais possible de « responsabiliser » des « dépenses de santé », l'idée selon laquelle responsabiliser3 95% de la population plutôt que 5% serait un objectif souhaitable et réaliste se révèle pour le moins saugrenue.


1. Cette « réforme » se voit justifiée par un procédé rhétorique en son temps utilisé par ce pauvre Monsieur Raffarin lorsqu'il « suggérait aux Français de travailler le lundi de Pentecôte pour participer à l'effort collectif de solidarité. »a Ici l'argument avancé est d'affirmer que cette mesure permettrait de financer la lutte contre le cancer et contre la maladie d’Alzheimer ainsi que les soins palliatifs. En quoi le financement de ces recherches devrait-il être assuré par l'invention d'une franchise supplémentaire? Qui ne voit qu'il n'est ici question que d'idéologie, sous la forme d'un procédé rhétorique grossier, consistant à faire accepter les prémisses par l' évidence de la nécessité de la conclusionb. Evidence de la conclusion qui permet par avance d'invalider les réserves que ne manquent pas de faire naître les prétendues prémisses. Mais un sophisme trivial n'a jamais constituté un syllogisme rigoureux.

Voir. Contre la franchise médicale, par Dr. Elie Arié, Le Monde, 21 juillet 2007.

a. Raffarin va s’offrir un jour férié, RFI.

b. "Je vous répète que ces franchises ne visent qu’à financer des priorités clairement affichées et partagées par l’ensemble des Français. Le fait de la présenter dans le projet de loi de financement de la Sécurité sociale montrera d’ailleurs que ces ressources nouvelles serviront à financer des dépenses nouvelles, lesquelles seront elles aussi explicitées dans le texte.Tous les Français et les professionnels de la santé comprennent l’importance de la lutte contre la maladie d’Alzheimer et savent qu’il s’agit d’une maladie terrible aussi bien pour les malades que pour leur entourage. Il en est de même pour le cancer, et, quant aux soins palliatifs, je vous assure que quand nous sommes allés à Zuydcoote avec le président de la République, c’était terriblement émouvant. Lui et moi avions les larmes aux yeux devant la dignité de ces familles et des personnels soignants." (...) "Comme l’a rappelé hier le président de la République, les Français sont prêts à participer au financement d’actions pour lutter contre la maladie d’Alzheimer, améliorer la prise en charge des soins palliatifs, ou développer les traitements et la recherche contre le cancer. Ils savent bien que c’est la condition pour renforcer l’efficacité de notre système de soins et lui donner tous les moyens nécessaires." Bachelot: "La franchise sera juste", Le Figaro, 31 juillet 2007.

2. Vive la franchise médicale !, par Claude Lepen et Guy Vallancien, Le Monde, 15 juin 2007.

3. Jean de Kervasdoué, dans un article au Monde, "Les effets indésirables de la franchise médicale", se demande si les 5% de la population "responsables" des 53% des dépenses sont également "responsables" de leur âge, de leur cancer ou de leur diabète ?"Source: Territorial.fr

Illustration: Martin Engelbrecht, Le médecin, 18e siècle, Musée des Arts décoratifs, Paris.

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27 juillet 2007 5 27 /07 /juillet /2007 14:34
"La pression fiscale ayant atteint le “seuil de la douleur” dans la plupart des pays, il n’y a guère d’autres solutions que d’engager de nouvelles réformes visant les systèmes de retraite ainsi que les dépenses de santé et de soins de longue durée."



OCDE,
Perspectives économiques de l’OCDE, Vol. 2007-1, n° 81, mai 2007, p. 56.
Source: Le mythe de la mobilité sociale aux Etats-Unis, Le Monde Diplomatique, 20 juillet 2007.

Illustration: Charles Le Brun (1616-1690), "Expression des Passions" : la Douleur de l'esprit,
Musée du Louvre.
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26 juillet 2007 4 26 /07 /juillet /2007 16:48

e-vert.gifn avril 2006, la Commission européenne engage une procédure en manquement à l'égard de la France, la mettant en demeure de reconsidérer le principe des tarifs régulés du gaz et de l'électricité. Elle considère en effet qu'un "mode de fixation étatique des prix ayant un tel caractère de généralité, de permanence et de rigidité, dénué de transparence dans son mode d'attribution (...) ne peut être présumé indispensable dans un système où le libre jeu de la concurrence entraîne en principe la fixation de prix compétitifs"1. Que ce qui n'est autre qu'un préjugé de l'époque ("le libre jeu de la concurrence") ne se révèle vrai qu' "en principe"2 n'interdit pas pour autant la Commission de l'opposer à ce qui n'est qu'un autre préjugé, les prétendues "généralité", "permanence" et "rigidité" qu'imposerait une instance régulatrice. Ici l' "analyse" se contente d'opposer des figures (« généralité/permanence/rigidité vs liberté") mais serait sans doute bien désappointée devant ces autres « figures », à ses yeux apparemment inconciliables, que sont la constance du sage3 (rigidité?), la valeur générale d'une règle librement établie (généralité?) ou la nécessaire permanence du principe de liberté (permanence?). Car il en va, selon la Commission, de ce qui n'est que l'énième artifice d'une idéologie qui refuse de se penser comme telle4, la "transparence", celle qu'instituerait le "libre jeu de la concurrence" par le truchement du marché, qui lui exhibe, paradoxalement, tout ce qui la nie (situations monopolistiques, différenciation artificielle des produits, publicité-mensongère et informations tronquées, etc.).

A l'opacité d'un tarif fixe et défini, la Commission lui préfère la limpidité d'une évolution chaotique - augmentation de 75% des prix moyens pour les entreprises constatée entre avril 2001 et avril 2006 - et l'évidence d'une inflation éruptive5 - augmentation de 48% entre 2005 et 20066. De plus, le prix régulé pâtit d'un vice rédhibitoire, à savoir l'arbitraire de "son mode de fixation", alors même que celui qu'établit "le libre jeu de la concurrence" est déterminé sur les mêmes bases7 et selon des critères identiques (marges, profits, bénéfices, parts de marché, etc.). Mais ce dernier peut quant à lui s'autoriser, par procuration seulement puisque soumis aux mêmes contraintes, de l'épithète de ce qui le rendrait possible: "le jeu libre". Or même si un acte libre n'est plus forcément un acte gratuit, une augmentation continue des prix risquerait d'entacher d' arbitraire ce que l'on aurait dû voir que comme l'expression d'une liberté chèrement conquise sur le diktat de l'héritage bolchévique et ce d'autant plus sûrement lorsque "les caractéristiques physiques de l'électricité et du gaz naturel ne permettent aucune différenciation"8 entre ce que proposent les différents fournisseurs, rendant ainsi l'appréciation de la diversité des prix plus que sujette à équivoque. Mais qu'à cela ne tienne, si les ressources naturelles dépérissent, celles qui sont mises en oeuvre pour sauver le système ne sont pas près de se tarir: d'aucuns invitent déjà les fournisseurs d'électricité à "renouveler leurs stratégies marketing et commerciales pour parvenir à se différencier..."9

A ce stade, on peut crainde que l'idée que "la vie du monde moderne relève autant de l'imaginaire que n'importe quelle culture archaïque ou historique"10 fasse injure à ces sociétés.


 

1. Mon immeuble.
2. C'est-à-dire qu'il est "logiquement" valide mais pratiquement aléatoire, considération qui en dit long sur le caractère "scientifique" de l'économie et l'intérêt des recommandations qu'elle serait et qu'elle a été amenée à faire.
3. "De la constance du sage", Sénèque.
4. "[Les] couches dominantes sont elles-mêmes dominées par [l]'imaginire qu'elles ne créent pas librement." Cornélius castoriadis, L'institution imaginaire de la société, Points Essais, Seuil, 1999, p.237.
5. Ces évolutions sont, il va de soi, tout à fait compréhensibles.
6. Marc Chevallier, Gaz, électricité : un marché de dupes ?, Alternatives économiques, n° 260, juillet-août 2007.
7. M. Poniatowski « souligne que l'explosion des prix de l'électricité entre 2002 et 2007 est d'autant moins justifiée que le système n'a pas changé : les centrales nucléaires produisent toujours 80 % de l'électricité consommée à un prix très compétitif et avec peu d'émission de CO2. »
Energie : la liberté des prix inquiète l'UMP et les propriétaires immobiliers, Le Monde, 24 juillet 2007.
8. Les stratégies de vente de l'électricité et de gaz naturel en France, Eurostaf, décembre 2005.
9. Ibid.
10. Cornélius Castoriadis, ibid. p. 235.

Illustration: Croquis, Marcel Gromaire, Musée national d'art contemporain, Centre Georges Pompidou, Paris.

 

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20 juillet 2007 5 20 /07 /juillet /2007 15:12
« Nous cherchons, à tisser des liens avec les hommes politiques, les intellectuels, les patrons, en organisant des repas, des cocktails, etc., car le journal ne doit pas seulement vendre du papier, il doit aussi rayonner.»

Laurent Joffrin, ex-rédacteur en chef au Nouvel Observateur,
directeur de publication à Libération, Stratégies, 8 décembre 2005.
Source: Le plan b.
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20 juillet 2007 5 20 /07 /juillet /2007 13:40
"J’ai le choix entre passer pour quelqu’un de malhonnête ou d'incompétent, qui ne sait pas ce qui s’est passé dans ces usines, j’assume cette deuxième version."

Arnaud Lagardère, Les tourments du jeune Lagardère, Le Monde, 13 juillet 2007.




 
8 Femmes (réal. François Ozon).
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20 juillet 2007 5 20 /07 /juillet /2007 12:07
"Quand on lui prend ses meilleurs éléments, ça ne peut qu'affaiblir le Parti socialiste."





Nicolas Sarkozy, Sarkozy préconise à l'UMP d'appliquer l'ouverture pour 2008, Le Nouvel Observateur, 19 juillet 2007.
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